Ceci n’est pas une évocation du Nid des Marsupilamis d’André Franquin dans lequel cette phrase apparaît, mais la preuve que cela arrivait du temps des dinosaures et ici l’un s’apprête à dévorer de l’intérieur en passant par l’arrière et l’autre va se faire dévorer tout cru, vertèbres brisées d’un croquement de dents...
bonne nuit
Gyal