Tous les vendredis soirs à la maison, ma maman nous préparait des harengs saur avec des patates à l’eau cuites à la cocotte-minute, que l’on épluchait soi-même et ça ne me déplaisait pas, une bouchée de pomme de terre avec une bouchée de hareng... et quand il n’y avait plus de hareng, je découpais mes pommes de terre et y ajoutais du beurre et du sel, mmmm ! parfois il y avait même des lamelles d’oignon avec de l’huile... c’est-ti pas l’opulence, ça madame?
comme quoi le bonheur c’est peu de chose... sauf pour les harengs. Comme les poissons, le dessinateur n’était pas très frais quand il les a faits, en commençant sa journée d’éclairagiste à 5 heures pour La Matinale et en ayant réussi à dormir 1h environ...